Les Cavaliers de l’Apocalypse: Mort & Pestilence. Larissa Ione

Récemment, je vous présentais Guerre & Famine, de la série Les Cavaliers de l’Apocalypse par Larissa Ione. On continue donc sur la même lancée avec les deux derniers tomes, Mort & Pestilence, mes favoris de la série !

Les cavaliers de l'apocalypse. Publiés aux éditions Bragelonne

Tome 3 : Mort

La fin des temps approche. Les cavaliers de l’Apocalypse devront choisir de préserver leur humanité et combattre aux côtés du bien ou, au contraire, embrasser leur destinée et déchaîner l’Enfer sur Terre.
Thanatos, le plus mortel des Cavaliers, a enduré des milliers d’années de solitude et d’abstinence pour empêcher la fin des temps. Pourtant, il a suffi d’une nuit avec la séduisante guerrière aegie Regan Matthews, pour réduire à néant des siècles d’efforts. Mais leur étreinte enfiévrée aura une conséquence pire que l’Apocalypse : Regan tombe enceinte.
Furieux d’avoir été manipulé par la jeune femme, Thanatos va entrer dans une rage meurtrière, avant de comprendre que pour empêcher Armageddon, il doit sacrifier la seule chose qu’il a jamais désirée : une famille.

Mon avis

Thanatos est le Cavalier le plus discret et distant de toute la fratrie. Mais ça ne fait pas de lui un Cavalier plus gentil pour autant. C’est la Mort tout de même. Et c’est aussi le plus froid et mystérieux. Légèrement colérique (ou frustré, allez savoir). Bref, on a clairement pas envie de le contrarier. Quant à Regan, c’est une femme combative, qui ne recule devant rien. Pas même devant notre divinité… A ses risques et périls ! Ensemble ils vont partager leurs secrets, leurs peurs, et surtout leurs forces, car la fin du monde est imminente.

Tome 4 : Pestilence

Perdu au milieu de nulle part, Reseph ignore tout de sa propre vie excepté son nom. Lorsqu’une jeune femme, Jillian Cardiff, lui porte secours, il tombe immédiatement sous son charme. Et c’est réciproque. Mais Reseph se révèle être l’effrayant Pestilence, qui a semé la mort et la destruction parmi les hommes. Un passé terrifiant qu’il devra affronter s’il veut sauver le futur qu’ils désirent tous les deux.

Mon avis

Ce dernier opus est juste top ! Larissa Ione a relevé le défi: faire la différence entre Reseph et Pestilence. Pourtant on garde à l’esprit qu’il n’est question que d’une seule et unique personne. J’ai adoré Reseph, qui semble si humain, presque attendrissant, et j’ai détesté Pestilence, ce monstre assoiffé de violence. Les deux entités sont bien distinguées, et le combat fait encore rage ! Jillian douce et fragile, n’en est pas moins une battante. Sa rencontre avec Reseph va tout bousculer. Un dernier tome à la hauteur !

Pour conclure sur ces deux derniers tomes

Je ne connaissais pas les livres de Larissa Ione avant ces quatre tomes. Je ne suis pas particulièrement adepte du genre romance-érotique, mais cette série m’a vraiment plu. J’ai apprécié le caractère de chaque personnage, notamment les deux derniers cavaliers et leurs camarades féminines. J’ai adoré l’univers fantastique créé autour d’eux et leurs couvertures, dans cette édition, sont à tomber !

🖤 Mes favoris d’une série à lire et relire, pour le plaisir.

Vous connaissez cette auteure ?

« Les Cavaliers de l’Apocalypse : Mort ». Bragelonne, 2014.
« Les Cavaliers de l’Apocalypse : Pestilence ». Bragelonne, 2014.

6 commentaires sur “Les Cavaliers de l’Apocalypse: Mort & Pestilence. Larissa Ione

    1. J’ai trouvé le dernier tome bien ficelé, je me demandais comment l’auteure pouvait nous amener à apprécier le méchant de l’histoire, après trois tomes a le détester, et c’est un pari réussi 😉 Tu me diras si tu te lances dans la suite de cette série 😊

      1. Je n’avais pas ressenti le besoin de la poursuivre plus que cela, mais tu m’as donné envie d’y remédier ! Et c’est clair que je suis curieuse de voir comment l’autrice s’y prend pour nous faire aimer un personnage que l’on a clairement envie, au minimum, d’assommer…

        1. Contente que mon article t’es donné envie de poursuivre cette série 😊 J’espère que la suite te plaira. Sur les quatre tomes, le premier m’a paru plus long, le temps de mettre en place le décor, l’univers. Mais ensuite ça s’enchaîne assez bien, c’est plus fluide. 😊 Assommer ? Au moins ça oui ! 🤭

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